Le chef suprême des talibans a lancé un appel samedi aux Afghans pour qu'ils observent la loi islamique, telle qu'imposée par son gouvernement, malgré son absence de reconnaissance internationale, tout en invitant «toutes les nations» à renouer leurs liens avec Kaboul.
Les tensions entre l'Afghanistan et le Pakistan se sont exacerbées après des frappes aériennes pakistanaises ayant causé la mort de huit civils dans deux provinces afghanes proches de la frontière.
Un accident tragique dans le sud de l'Afghanistan, impliquant un camion-citerne, un autocar et une moto, a entraîné la perte de vie d'au moins 21 personnes et a causé des blessures à 38 autres.
L’Afghanistan, pays montagneux habitué aux très rudes hivers, n’a quasiment pas vu la neige tomber à la mi-janvier, nouveau signe du très fort impact du réchauffement climatique sur ce pays d’Asie centrale.
Cinquante couples ont été unis collectivement lundi dans un immense édifice à Kaboul, une pratique de plus en plus répandue pour réduire les coûts astronomiques des mariages traditionnels en Afghanistan. Le cadre imposant de la douzaine de «wedding halls» de Kaboul se prête à l’austérité nouvelle de ces cérémonies, dans le pays d’Asie centrale en plein marasme économique et sous la tutelle des talibans.
Un nouveau séisme, de magnitude 6,3, a frappé hier la ville d’Hérat, au nord-ouest de l’Afghanistan, après plusieurs secousses depuis le début du mois dans cette région dont un tremblement de terre dévastateur qui a fait plus d’un millier de morts.
Le 15 octobre, un nouveau séisme d'une magnitude de 6,3 a secoué la ville d'Hérat, située dans le nord-ouest de l'Afghanistan, d'après les informations fournies par l'Institut de géophysique américain (USGS).
Le gouvernement afghan a considérablement revu à la baisse le bilan du séisme qui avait frappé samedi l’ouest de l’Afghanistan, pour l’établir à «plus de 1000 morts», dans l’immense majorité des femmes et des enfants selon l’ONU. Un nouveau tremblement de terre, de magnitude 6,3, a frappé hier à l’aube la même région, dans la province d’Hérat, créant la panique dans la population encore traumatisée par celui de samedi - de magnitude équivalente - et ses répliques.
Mardi 10 octobre, les opérations de recherche se poursuivent sans relâche dans les décombres des habitations ravagées par le puissant séisme qui a causé la mort d'au moins 2000 personnes dans l'ouest de l'Afghanistan. Cependant, l'espoir de retrouver des survivants s'amenuise à chaque heure qui passe. Des volontaires armés de pelles et de pioches s'emploient sans répit depuis que ce séisme de magnitude 6,3 s'est produit samedi dernier, suivi de huit répliques, dans la province d'Hérat.
Des villageois et des volontaires étaient mobilisés, hier, pour aider à retrouver des survivants du puissant séisme qui a tué plus de 2000 personnes dans l’ouest de l’Afghanistan où l’aide commence lentement à arriver sur place. Des camions pleins de nourriture, d’eau et de couvertures ont atteint les villages isolés, à environ 30 km au nord-ouest de la ville de Hérat, les plus sévèrement touchés par le séisme de magnitude 6,3 et les huit fortes répliques qui ont frappé, samedi, la région.
Plus de 2 000 personnes ont péri dans un violent séisme qui a frappé, avant-hier samedi, l’ouest de l’Afghanistan, provoquant d’énormes dégâts, selon un nouveau bilan officiel communiqué hier. Le séisme de magnitude 6,3, qui a frappé les régions situées à 30 kilomètres au nord-ouest de la ville de Hérat, a été suivi de 8 fortes répliques. «2 053 martyrs sont morts dans 13 villages.
Le gouvernement taliban d'Afghanistan marque le mardi 15 août comme un jour férié, commémorant le deuxième anniversaire de sa prise de contrôle du pays. Les célébrations et une déclaration officielle soulignent avec fierté leur retour au pouvoir.
Trois personnes ont été tuées et sept blessées dans une explosion, dont on ignore la cause, hier dans un hôtel de la ville de Khost, dans l’est de l’Afghanistan, près de la frontière avec le Pakistan, ont indiqué les autorités locales, relayées par l’AFP.
En montant dans l’avion pour Paris, lors de son évacuation de Kaboul le 1er décembre 2021, elle a tilté : son exil l’emmenait vers «la ville des Jeux olympiques». Deux ans plus tard, Marzieh Hamidi, championne afghane de taekwondo, touche son «rêve» du doigt.
e gouvernement taliban est le grand absent d’une réunion sur l’Afghanistan organisée par l’ONU, entamée hier à Doha, rapporte l’AFP. Rencontre qui se focalisera sur l’approche à adopter envers les autorités de Kaboul, et la manière de les inciter à assouplir leur position sur les droits des femmes.
L’interdiction faite aux femmes afghanes de travailler avec les Nations unies est une «affaire sociale intérieure» à l’Afghanistan, a réagi hier le gouvernement taliban, après l’adoption par le Conseil de sécurité de l’ONU d’une résolution la dénonçant, rapporte l’AFP.
Le nombre d’Afghans pauvres a presque doublé entre 2020 et fin 2022, pour atteindre les 34 millions, selon des estimations publiées par l’ONU, qui met en garde contre l’aggravation de la situation économique avec les mesures prises par les talibans à l’encontre des femmes.
L'ONU s'est dite mardi condamnée à un "choix affreux", celui de continuer ou non ses opérations en Afghanistan, après la décision du gouvernement taliban d'interdire aux femmes afghanes de travailler pour l'organisation.
La Mission des Nations unies en Afghanistan devait s’entretenir hier avec des responsables talibans à Kaboul pour clarifier une nouvelle interdiction gouvernementale qui empêche les femmes afghanes de travailler pour l’organisation dans le pays, en proie à une grave crise humanitaire.
Le fondateur d'un réseau d'écoles ouvertes aux filles en Afghanistan a été arrêté à Kaboul, a annoncé mardi l'ONU qui demande aux autorités talibanes d'éclaircir les raisons de cette arrestation, dans un pays où l'éducation des filles est un sujet extrêmement sensible.