Le sommet des dirigeants des pays membres de l’Union africaine (UA) a débuté hier à Addis-Abeba, en Ethiopie. Il intervient alors que le continent est secoué par des coups d’Etat, conflits et crises politiques. Un continent devenu entre-temps un autre terrain de confrontation des grandes puissances.
Le texte signé lundi «permettra à l’Ethiopie de disposer d’une base militaire et d’une zone maritime commerciale», a affirmé le même jour Redwan Hussein, conseiller à la sécurité de Abiy Ahmed, évoquant le port commercial de Berbera et une localité située plus à l’Ouest, Lughaya.
Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ramtane Lamamra, a tenu à Addis-Abeba des réunions consultatives avec ses homologues de Libye, d'Afrique du Sud et d'Angola.