Tout d’abord, je tiens à remercier mon ami et confrère Youssef Zerarka à l’origine de notre rencontre conviviale et fraternelle, avec d’autres amis, autour de Si Abderrahmane, chez lui, à l’ouest d’Alger. Un rendez-vous pas seulement nostalgique, à ne pas manquer, d’autant que je l’ai perdu de vue depuis belle lurette.