Il s’agit de «concrétiser le potentiel minier en véritable levier de développement pérenne, tout en préservant les intérêts des Etats face aux investisseurs étrangers. A cet effet, l’Afrique doit naviguer avec un mélange de prudence et d’audace entre aspiration légitime à un meilleur partage des revenus miniers et nécessité de maintenir un climat favorable aux investissements étrangers».