Le défenseur central des Verts, Djamel Benlamri, est dans une mauvaise posture, à cause de son ancienne formation, les Saoudien d’Al Shabab.
Cette dernière qui a déposé plainte auprès de la FIFA contre le joueur pour non-payement de sa lettre de libération, a été condamnée avant-hier jeudi, à verser la coquette somme de 905 000 euros, soit près d’un million d’euros au club Saoudien.
Benlamri, qui est sans club depuis quelques mois, pour avoir résilié son bail avec le club qatari du SC Qatar, a désormais 45 jours pour payer la formation saoudienne, faute de quoi, il sera frappé d’une interdiction de jouer de six mois.
Les faits de cette affaire remonte en fait au 5 octobre 2020, lorsque l’enfant d’El Harrach a décidé de quitter la formation saoudienne, avec qui il était en conflit. Il finira par quitter officiellement Al Shabab trois mois plus tard, en rejoignant en janvier 2021 le club français de l’Olympique Lyonnais, qui l’a recruté en tant que joueur libre. Mais dans les faits, Benlamri devait lui-même payer sa lettre de libération au club saoudien.
Chose non faite, d’où cette plainte auprès de la FIFA et cette somme faramineuse de 905 000 euros, représentant le montant de sa lettre de libération ainsi que des pénalités de retard, qu’il devra verser donc avant le 1er août prochain, faute de quoi, Benlamri, qui est déjà sans club plus de deux mois, ne pourra pas rejoindre une nouvelle formation durant les six prochains mois, tout en étant contraint de verser ladite somme, en sus de nouvelle pénalités de retard.