Plusieurs marques automobiles décident de faire machine arrière sur l’électrification des véhicules, en misant sur les moteurs à combustion interne et les hybrides. Stellantis annonce même le maintien du moteur diesel. Un projet qui reste sur la table de sa direction.
Des informations ont affirmé que le géant groupe prévoit d’adapter un de ses modèles aux normes environnementales. Le groupe va à contre-sens des objectifs fixés par les instances internationales environnementales et tient en exclusivité à développer un nouveau moteur diesel.
Mais Stellantis n’est pas la seule firme à vouloir réinvestir sur le thermique. En effet, des marques comme General Motors, Porsche, BMW, Volkswagen ou encore Mercedes ont aussi fait des annonces dans ce sens. Si le pur thermique n’est quand même plus à la mode, il y a un réel regain d’intérêt pour l’hybridation, une solution de transition qui va tenir plus longtemps que prévu dans les gammes.
Mercedes compte par exemple dévoiler 19 voitures à essence contre «seulement» 17 électriques entre 2025 et 2027. De son côté, Volkswagen envisage de prolonger la production de plusieurs modèles thermiques au-delà de 2033. Mais alors, pourquoi un tel revirement de situation ? Les constructeurs automobiles historiques sont confrontés à un défi de taille.
Ils doivent, d’un côté, assumer des investissements massifs vers l’électrification, mais les ventes d’électriques ne progressent pas assez vite. Et les voitures thermiques sont en quelque sorte leurs bouées de sauvetage durant cette période de «vache maigre». La transition étant déjà repoussée. La voiture thermique vivra encore !