Alegria Production et le Centre National de la Cinématographie et de l'Audiovisuel (CNCA) ont organisé ce mercredi 5 janvier, à la salle de projection du CNCA( Ouagnouni), à Alger, la projection du premier long métrage de fiction de Anis Djaâd, "La vie d'après".
Le film « La vie d’après » d’Anis Djaâd, ayant obtenu la Mention spéciale du 41e Festival international du film d’Amiens (France), a été enfin montré à la presse, après l’annulation du 9 décembre 2021.
Et c’est justement en présence des journalistes, du réalisateur Anis Djaâd, du casting, des membres de l’équipe technique et artistique, que «La vie d’après» a été projeté.
Le pitch de "La vie d’après"? Dans un village épars, perdu de l’ouest algérien, Hadjer, devenue veuve suite à l’assassinat de son époux, victime d’un acte terroriste, découvre une rumeur injustifiée courant à son sujet.
Elle se voit obligée de fuir la région en compagnie de son fils, Djamil. Du coup, sa vie bascule dans un enfer. Pour ne pas dire un cycle infernal. "La vie d’après" est sobrement et simplement filmé.
D’où cette beauté du celluloïd. Ce grain.de beauté. Il traite de la cruauté des humains, entretenue sur le mensonge, des conjectures, des accusations gratuites, perfides.
La rumeur, elle court et ça bruisse à tous les étages.