Le coin du referee / Maroc – Algérie : l’acte arbitral a (négativement) influé sur l’issue finale !

13/05/2023 mis à jour: 07:05
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De prime à bord, l’élimination, somme toute logique en quart de finale de la CAN U17 de l’équipe nationale algérienne face au Maroc, n’est aucunement remise en cause. 

Seulement, voilà, la faible prestation arbitrale du Libyen Mohamed El Mabrouk lors de cette confrontation décisive mérite quand-même une pause. Il faut le dire tout de suite, les mauvaises interprétations émanant d’une piètre lecture de jeu de l’arbitre directeur libyen «El Mabrouk» ont influé négativement sur le cours du jeu du fait de son incapacité à donner les véritables décisions aux actes de jeu produits entre des adversaires sur le terrain, entre de jeunes compétiteurs. Le timing est illustratif. Après coup, 

Il fut destructif. Explication : la première réalisation des Lionceaux de l’Atlas ne souffre d’aucune contestation du fait de sa limpidité et de la manière de son élaboration. 

Avant la mi-temps, sur une incursion sur le flanc droit, l’attaquant algérien, balle au pied, débordant son vis-à-vis à l’intérieur de la surface de réparation, fut nettement fauché par le défenseur marocain en le touchant au pied. Ni l’arbitre libyen ni encore moins l’Egyptien en charge de la VAR ne bronchent ! Au cas où ladite action avait été justement appréciée et la sentence réussie, le score et la suite auraient été autres…

 En football, personne ne peut prédire ce que peuvent engendrer les tournures et leurs émotions qui surviennent lors d’un match (buts marqués, joueurs exclus, etc.) et leur impact sur son issue finale. 

Faut-il rappeler que même l’«expert» de l’arbitrage et consultant vedette des émissions de la TV publique, qui en réalité ne donne que son avis personnel, était du même avis que les officiels sur le terrain. Seul l’animateur de l’émission en direct «Studio CAN U17», avec sa ténacité et sa forte personnalité, n’accepta aucune «considération» avancée par l’«expert» et s’accrocha au fait que l’action était fortement litigieuse et méritait sa réparation par un coup de pied de réparation. 

En seconde mi-temps, avant le deuxième but des Marocains, un fauchage caractérisé exécuté par derrière sur un attaquant algérien lui subtilisant le ballon en le laissant gémir de douleur à même le sol. Là, également, aucune réaction de l’arbitre directeur, ni de son assistant concerné par l’action. 

La contre-attaque de l’équipe adverse a été concluante en portant l’estocade et assurant le break. C’était fatal pour une jeune équipe déjà «bouffée» sur tous les plans par son adversaire et par l’acte arbitral.

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