Il s’agit de la quatrième édition du Festival national de la chanson engagée. 18 wilayas seront représentées à cette édition chacune avec une troupe musicale, exception faite à la wilaya hôte, Tiaret qui aura à présenter trois troupes.
Doté de prix oscillant entre 100 à 250 000 DA aux trois meilleurs lauréats, les organisateurs ont rajouté des primes d’encouragements à d’autres dont celui au profit de meilleur parolier et tenue sur scène. Selon le commissaire de ce festival, Benaouda Belkacem, cadre-inspecteur du secteur : «La relance de ce festival qui ne s’est pas tenu depuis 2017 se tiendra sous le haut patronage de la ministre de la Culture et des Arts.» L’arrêt de cet événement musical prisé par un public de plus en plus nombreux l’a été du fait d’absence de financement et suite à l’épisode du corona Covid-19.
Notre interlocuteur explique que «cet événement musical sera suivi par un jury composé de personnalités du monde artistique dont Fouad Waman, Maati Kamel, Slimane Djouadi et Dounia El djazairia et qu’en marge de ces joutes musicales, il y aura une exposition de produits afférents au monde musical, d’artistes peintres locaux et la présence dans un stand de l’ONDA, partenaire incontournable du monde artistique national. Dans le milieu professionnel qu’amateur s’ébauchent des discussions autour du concept de «chanson engagée» qui ne réunit pas l’unanimité alors que des troupes connues et reconnues sur la scène locale que nationale continuent de subjuguer les foules. Ça promet…