L’ancienne ministre de la Justice, Christiane Taubira, s’est à son tour jetée hier dans le bain de la présidentielle française, avec l’objectif ambitieux mais quasi-impossible de rassembler un camp de la gauche fragmenté et déjà surchargé de candidats.
Lors de cette première tournée dans la région, Steffan de Mistura compte examiner les moyens de relancer le processus politique au Sahara occidental, même si sa mission semble semée d’embûches, de défis et d’obstacles.
Le wali de la wilaya de Boujdour (camps de réfugiés sahraouis), Azza Ibrahim Babih, a affirmé, hier, que les Sahraouis ne comptaient pas trop sur la visite de l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU pour le Sahara occidental, Steffan de Mistura, pour le règlement du conflit avec le Maroc, vu l’inaction du Conseil de sécurité onusien, appelant à la poursuite de la lutte armée jusqu’à l’indépendance : «La visite de M. de Mistura dans la région ne diffère pas de celle de ses prédécesseurs.»
Des experts indépendants mandatés par les Nations unies ont enjoint les Etats-Unis de fermer leur prison militaire de Guantanamo, site de «violations incessantes des droits de l’homme», ouvert après les attentats djihadistes du 11 Septembre 2001 dans le cadre de «la guerre contre le terrorisme» décrétée par Washington.
La défense sud-coréenne a estimé que ce tir avait atteint une vitesse hypersonique et attestait d’un «progrès» par rapport à celui de la semaine dernière. Le projectile a parcouru environ 700 kilomètres à une altitude d’environ 60 kilomètres et à une vitesse de Mach 10, selon l’état-major interarmées de Corée du Sud.
Les shebab, un mouvement lié à Al Qaîda, cherchent à renverser le fragile gouvernement fédéral somalien, soutenu par la communauté internationale, et contrôlent de vastes territoires dans les zones rurales de la Somalie.
Depuis le 22 décembre, la Tunisie a mis en place un pass vacinal pour l’accès aux bâtiments publics et aux centres commerciaux. Il est censé s’appliquer aussi dans les cafés et restaurants, mais beaucoup ne le font pas respecter.
Le colonel Goïta et le gouvernement ont à nouveau fustigé, lundi soir, les décisions de la Cédéao, au «caractère illégitime, illégal et inhumain».
L’Algérie, tout en mettant en garde contre les conséquences politiques, sécuritaires et économiques que peut avoir toute transition longue, telle que celle envisagée par la partie malienne, a plaidé pour un dialogue serein et réaliste avec la Cédéao en vue de parvenir à un plan de sortie de crise qui tienne compte des exigences internationales et des aspirations légitimes du peuple malien.
La présidente de l’US Western Sahara Foundation, Suzanne Scholte, a exhorté le gouvernement américain à reconnaître la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et à appeler le Maroc à mettre un terme à l’occupation illégale des territoires sahraouis.
L’ONU a demandé hier la libération ou la mise en inculpation de l’ex-ministre et homme fort du parti tunisien d’inspiration islamiste Ennahdha, Noureddine Bhiri, et s’inquiète de la «détérioration» de la situation des droits humains dans le pays. «Les événements qui se sont déroulés en Tunisie au cours du mois dernier ont accentué nos inquiétudes, déjà vives, quant à la détérioration de la situation des droits humains dans ce pays», a déclaré une porte-parole du Haut-Commissariat, Liz Throssell, lors d’un point de presse à Genève.
La Cédéao avait déjà suspendu le Mali de ses organes de décision et imposé un gel de leurs avoirs financiers et une interdiction de voyager à 150 personnalités, coupables, selon elle, de faire obstruction aux élections. Ces sanctions restent en vigueur.
Le climat optimiste dans les pourparlers de Vienne découle de la volonté actuelle de tous les négociateurs d’aboutir à un «accord fiable et stable» sur le nucléaire, a affirmé hier le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères. «Ce qui se passe aujourd’hui à Vienne est le résultat des efforts de toutes les parties présentes d’aboutir à un accord fiable et stable», a déclaré lors de sa conférence de presse hebdomadaire à Téhéran Saïd Khatibzadeh.
Début octobre, un raid musclé dans un quartier populaire de la capitale libyenne avait fait un mort et 15 blessés. Au moins 5000 personnes avaient été arrêtées, mais quelques jours plus tard, environ 2000 migrants s’étaient évadés d’un centre et six d’entre eux ont été tués par balle par des gardes libyens.
Rien qu’à Almaty, la capitale économique où se sont déroulées les émeutes les plus violentes, 103 personnes ont été tuées, ont rapporté hier plusieurs médias, citant le ministère de la Santé.
Le Front Polisario a rejeté samedi le rapport de la Commission européenne sur «un prétendu bénéfice» qu’aurait tiré le peuple sahraoui de ses richesses, réaffirmant que le contenu dudit rapport qui n’était que le fruit des crimes de l’occupant marocain était «inacceptable».
Au moins 200 personnes ont été tuées au cours de plusieurs attaques menées cette semaine par des hommes armés dans l’Etat de Zamfara, dans le nord-ouest du Nigeria, a déclaré hier à l’AFP un responsable gouvernemental.
Sous l’impulsion du prince héritier Mohammed Ben Salmane, le royaume ultraconservateur a multiplié l’organisation de grands événements sportifs ou de divertissement, dans un pays à l’image très austère.
Les Etats-Unis sont prêts à discuter avec la Russie des dispositifs de missiles et des exercices militaires des deux pays, lors de discussions qui ont commencé hier soir à Genève, a fait savoir samedi un haut responsable de la Maison-Blanche.
Les autorités saoudiennes ont libéré une princesse incarcérée sans chef d’inculpation depuis près de trois ans à Riyad, a annoncé hier une organisation de défense des droits humains dans le royaume du Golfe.