Le Groupe Télécom Algérie (GTA) a signé, mardi au Centre international des conférences (CIC) Abdellatif Rahal, deux accords de coopération avec le groupe Cosider et la Banque nationale d’Algérie (BNA).
A cette occasion, le Pdg du groupe, Khaled Zarat, a procédé à la signature d’un accord de coopération avec le Pdg du groupe Cosider, Lakhdar Rekhroukh, et un mémorandum d’entente avec le DG de la BNA, Mohamed Lamine Lebbou.
S’exprimant à cette occasion, M. Zarat a fait savoir que le choix du groupe Cosider et de la BNA pour la signature de ces deux accords de coopération était motivé par leur «empreinte remarquable dans le parcours de l’économie nationale, en sus de leur forte présence dans la mémoire des opérateurs économiques à travers une série de projets prometteurs et d’innombrables initiatives».
Il s’agit par ce partenariat de «renforcer la coopération à travers une exploitation optimale des ressources humaines et des infrastructures, outre la mobilisation des technologies pour assurer des services offrant davantage de confort aux clients et un développement des activités en matière d’innovation et de nouvelles technologies», a-t-il poursuivi.
Le Pdg de GTA a insisté, dans ce sens, sur l’importance «de développer le capital humain, faciliter les procédures de promotion des opportunités d’investissement et proposer de nouvelles alternatives afin d’atteindre l’efficacité économique dans le cadre de la vision prospective de l’Etat, en sus des incitations et des garanties mises en place par la nouvelle loi sur l’investissement».
De son côté, le dg de la BNA a estimé, selon l’APS, qui a rapporté l’information, que le document signé «reflète l’orientation de son institution à œuvrer davantage avec les entreprises économiques algériennes dans le cadre d’une stratégie bien définie visant à valoriser la valeur ajoutée sur les plans financier et technologique». Pour sa part, le Pdg du groupe Cosider s’est félicité de l’accord signé avec le GTA, affirmant qu’il sera de nature à «renforcer la coopération entre les entreprises publiques algériennes».