Grâce à leurs images, «nous pouvons détecter depuis l’espace les zones sèches et sujettes aux incendies de forêt. Nous pouvons détecter les feux actifs et les feux couvant, ainsi que les zones brûlées et les émissions de fumée et de gaz à l’état de traces», détaille Clément Albergel, responsable des informations climatiques exploitables à l’Agence spatiale européenne (ESA). «Nous pouvons tirer des enseignements de tous ces types d’éléments.»
Deux petits satellites de la Nasa devant permettre d’observer l’évolution des ouragans heure par heure ont décollé hier depuis la Nouvelle-Zélande, à bord d’une fusée de l’entreprise américaine Rocket Lab.