Avant, je naviguais entre Turkmenbachy et Khazar», se souvient Batyr Youssoupov, matelot sur un bateau de croisière au Turkménistan. Une liaison maritime désormais impossible en raison de la baisse alarmante du niveau de la Caspienne, plus grande mer fermée au monde. «Nous ne pouvons plus y aller depuis un an en raison du grave ensablement de la Caspienne», dit à l’AFP le matelot de 36 ans.