La grâce présidentielle prononcée à l’occasion du 5 Juillet, en faveur de plus de 8000 détenus, n’a semble-t-il pas touché certains diplômés et bacheliers. Cela suscite une incompréhension chez certaines familles de prisonniers, dont les enfants se sont retrouvés derrière les barreaux pour une erreur de jeunesse, comme la consommation de la drogue.