Tadjeddine Bachir, acteur du numérique, est convaincu qu’il y a «des acquis qui donnent la possibilité de bâtir autour d’eux et aller assez rapidement vers une gouvernance électronique unifiée». Autre constat : l'Algérie a fait de bons progrès en termes de connectivité et d'infrastructures, mais il reste encore beaucoup à faire en matière de dématérialisation des démarches administratives, de culture numérique et d'engagement citoyen.