La grâce présidentielle prononcée à l’occasion du 5 Juillet, en faveur de plus de 8000 détenus, n’a semble-t-il pas touché certains diplômés et bacheliers. Cela suscite une incompréhension chez certaines familles de prisonniers, dont les enfants se sont retrouvés derrière les barreaux pour une erreur de jeunesse, comme la consommation de la drogue.
Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Fayçal Bentaleb, a affirmé, jeudi, que l’opération d’intégration des diplômés sera parachevée avant fin 2023 selon le programme arrêté, et ce, dans le cadre de la politique de l’Etat visant à accompagner les jeunes et à créer de l’emploi.