Durant le mois sacré du Ramadhan, la ville d’Alger a pour habitude de garder une place en soirée aux musiques citadines qui y ont un ancrage, cette année les soirées de la capitale sont rythmées par le son de la mandole et du banjo, ou du qanoun et du oud avec un programmation sensiblement plus dense de la chanson chaâbie et de l’andalou.