«Je ne suis pas un nazi» : Donald Trump se défend d’être un fasciste après son meeting de New York

29/10/2024 mis à jour: 01:57
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John Kelly, son ancien chef de cabinet à la Maison-Blanche, avait estimé que son ex-patron répondait à la définition d'un fasciste, une accusation reprise par la candidate démocrate Kamala Harris.

La campagne présidentielle aux États-Unis prend des allures de confrontation intense et polarisante à une semaine du scrutin. Donald Trump, candidat républicain à la Maison-Blanche, se défend actuellement de nouvelles accusations de penchants autoritaires et de racisme, suscitées par d'anciennes déclarations et des propos polémiques lors de récentes apparitions publiques. Lors d'un meeting en Géorgie, il a rejeté toute association avec le nazisme, assurant être « le contraire d'un nazi » après que la démocrate Kamala Harris a évoqué des tendances fascistes chez lui. Cette critique fait écho aux accusations de John Kelly, ancien chef de cabinet de Trump, qui a récemment affirmé que l'ex-président avait exprimé des opinions favorables au régime d'Hitler, ce qui a déclenché des réactions vives au sein de l'opinion publique.

Kamala Harris, quant à elle, a réagi en multipliant ses apparitions dans des États clés, où elle appelle à une vision de changement positif, promettant de transformer le pays pour le rendre plus inclusif, notamment pour Porto Rico. Le scrutin s'annonce très serré, avec plus de 47 millions de votes anticipés, ce qui témoigne d’une mobilisation historique.

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