Devant la commission du MJS, conduite par Amer Mensoul, et composé également du président de la LFP, Abdelkrim Medouar, le wali de Chlef , Attalah Moulati, a plaidé pour construction d’un nouveau stade de football à Chlef qui s’impose, d’après lui, pour répondre aux besoins croissants des clubs de la région et à la dimension de la ville de Chlef devenue un pôle sportif par excellence.
Il a, en outre, fait part de son engagement continu envers l’extension et la modernisation du stade Mohamed Boumezrag en exécution du programme de mise à niveau retenu par le MJS au profit de cette infrastructure qui doit être mise en conformité avec les exigences de la CAF en matière d’accueil des compétitions continentales.
De son côté, le président de la LFP, Abdelkrim Medouar, a évoqué la possibilité de revenir au gazon naturel dans ledit stade qui en disposait déjà après 1987 et ce, à la faveur de l’opération de réaménagement de cette enceinte.
En fait, cette dernière constituait l’objet principal de la visite de la commission du MJS, dimanche, au stade Mohamed Boumezrag, en compagnie du wali de Chlef, du DJS, du directeur de l’OPOW de Chlef et de dirigeants de l’ASO.
Elle a inspecté les premières installations rénovées et aménagées dans le cadre d’une première intervention de mise à niveau des tribunes officielles, des vestiaires et de la cabine de presse, en plus des nouvelles salles réservées à l’anti-dopage, la VAR, et les soins sur place.
Dans une déclaration à la presse, le président de la commission du MJS, Amer Mensoul, a exprimé sa satisfaction quant à la qualité des aménagements introduits au stade Mohamed Boumezrag et qu’il va falloir, toutefois, a-t-il précisé, compléter par la rénovation des tribunes, la certification FIFA de la nouvelle pelouse en tartan, la modernisation de l’éclairage nocturne et l’installation de portiques électroniques aux entrées du stade.
Ces équipements figurent justement dans la deuxième partie de l’opération de mise à niveau du stade Mohamed Boumezrag qui nécessite en conséquence une dotation financière du ministère de la Jeunesse et des Sports pour mener les travaux en question.