Une initiative personnelle née du constat qu’elle a fait au cours de ses fréquents séjours : les autochtones, essentiellement les femmes et enfants, voient passer des milliers de touristes pour voir des « choses » dont ils ignorent tout. Les hommes les connaissent parce qu’ils sont occasionnellement guides, chauffeurs ou cuisiniers et qu’ils en parlent entre eux. Yamina Miri, éprouve un incommensurable attachement au Grand Sud. Pas une passion, nous corrige-t-elle, mais un amour sans borne.