Au centre public d’études et de réalisations en urbanisme, appelé Urbab, les travailleurs vivent des jours difficiles et craignent le retour des années de disette. Et pour cause, ne percevant plus leurs primes, ils estiment qu’avec le manque de plans de charge et la gestion actuelle du centre en question, la régularité des salaires risque fort de ne pas être au rendez-vous en 2024.