En fuite à l’étranger, l’ancien ministre de la Participation et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar, appelé «Monsieur privatisation», a été condamné à une peine de 10 ans de prison ferme assortie d’un mandat d’arrêt international. C’est la deuxième condamnation par défaut, après celle de 20 ans, avec le même mandat d’arrêt, que le pôle pénal financier lui a infligée hier.