Les Algériens établis aux Etats-Unis d’Amérique ne ratent pas les occasions du mois de Ramadhan pour se rencontrer, créer une ambiance du bled et…rendre aussi hommage au plus méritant d’entre eux.
Le public s’en est laissé bercer, envoûté par les différents sons émanant des violons, mandolines, oud, quetra, et manipulés avec brio par les musiciens de cette association oranaise, autant les anciens que les nouveaux élèves.
Reléguée au dernier plan par les gestionnaires de la ville et de la wilaya de Sétif, la culture essaye, en ces jours du mois de ramadhan, de renaître de ses cendres. Héritant d’un véritable cadeau empoisonné, la nouvelle équipe communale, marchant, le moins que l’on puisse dire, sur un champ miné, essaye tant bien que mal de redorer le blason d’un secteur naufragé.
Les familles bougiotes ont dû patienter une semaine avant de voir leurs soirées ramadanesques tirer de leur torpeur. Contrairement aux années précédentes, le gros de l’animation au niveau de la ville de Béjaïa est proposé par un promoteur de spectacles privé qui a concocté un programme riche et plein de surprises.