Après des années d’atermoiements et de constats critiques, les autorités semblent décidées enfin à se pencher sur le phénomène de la salinité et de la pollution des eaux du Bas Sébaou, l’un des plus grands fleuves du pays.
Le désastre des milliers de poissons péris la semaine passée près de l’embouchure de l’oued Sebaou, à l’est de Boumerdès, est dû principalement au taux élevé de la salinité des eaux ainsi que la hausse de leur température.