Chaque ministre de la Communication qui arrive apporte sa «touche» dans le processus de renforcement de l’arsenal juridique entrant dans le cadre de la «réorganisation» de la presse. L’actuel ministre ne fait pas exception à la règle. Il a été entendu par les deux Chambres parlementaires pour défendre les deux projets de loi qu’il a présentés concernant la presse écrite, numérique et audiovisuelle.
Les éditeurs de médias algériens ont condamné dans un communiqué «les bombardements massifs et barbares de l’entité sioniste et le massacre de la population sans défense de Ghaza». Ils dénoncent aussi «les couvertures biaisée de la guerre contre Ghaza des médias occidentaux et une médiatisation dominée par le stéréotype qui déforme la vérité. C’est devenu une machine de propagande».
«Nous, soussignés, éditeurs de médias algériens, tout en condamnant les bombardements massifs et barbares de l’entité sioniste et le massacre de la population sans défense de Ghaza , nous condamnons l’effondrement professionnel et moral des médias occidentaux dans leur couverture biaisée de la guerre contre Ghaza et la consécration de stéréotypes déformateurs de la vérité.