Alors que les bombardements barbares sur la Bande de Ghaza se poursuivent, de nombreux pays ont pris la décision d’engager une procédure (ou de la soutenir) devant la Cour pénale internationale (CPI), contre l’entité sioniste pour «génocide».
Depuis sa déclaration, dimanche dernier, le procureur général de la Cour pénale internationale (CPI), Karim Khan, s’est muré dans un silence de marbre alors que de nombreuses plaintes pour génocide sont engagées contre l’entité sioniste. En visite au poste frontalier Rafah, reliant Ghaza à l’Egypte, le procureur, et après avoir été empêché par l’armée d’occupation d’accéder à Ghaza, avait averti que «le fait d’empêcher l’aide humanitaire pourrait constituer un crime».