Sur le terrain, les bombardements et le siège de Ghaza aggravent de plus en plus la situation humanitaire. Les conditions de vie, selon l’ONU et les ONG, sont «cauchemardesques». L’acheminement des aides humanitaires nécessaires pour les 2 millions de civils déplacés devient impossible.
Le wali, Abdelkhalek Sayouda, avait déclaré que la direction des impôts donne des chiffres sur un recouvrement loin des capacités réelles de la capitale de l’Est, en dépit de tous ses atouts commerciaux et économiques.