L’Algérie a commencé à déminer son territoire en 1963. La France avait laissé plus de 11 millions de mines à travers le pays, causant des milliers de morts et de blessés parmi les citoyens algériens.
Un véritable casse-tête pour la communauté internationale. Vingt-six ans après l’adoption de la convention internationale, appelée aussi Convention d’Ottawa (1997), sur l’interdiction de l’emploi, du stockage, de la production et du transfert des mines antipersonnel et sur leur destruction, le désastre continue.