La population de Ghaza a vécu, hier, une nouvelle journée d’horreur, avec son lot de morts, de blessés et de destructions. Alors que la pression pour un cessez-le-feu augmente de plus en plus au niveau international, les forces d’occupation israéliennes redoublent de férocité en intensifiant leurs bombardements qui ont fait des centaines de morts et des milliers de blessés supplémentaires.
Vingt-cinq jours d’une guerre abominable contre les Palestiniens de Ghaza et aucune voix sensée n’a pu encore imposer un cessez-le-feu pour arrêter le massacre. Tandis que les Etats-Unis et leurs alliés accordent à Israël l’impunité pour commettre des crimes de guerre et que les voix arabes sont inaudibles, l’entité sioniste poursuit son plan macabre dans ce qui ressemble à une seconde Nakba.
Le carnage continue à Ghaza. Dans la nuit de vendredi à hier, alors que les membres de l’Assemblée générale des Nations unies venaient d’adopter à la majorité une résolution en faveur d’un cessez-le-feu, les forces d’occupation israéliennes redoublent de férocité en intensifiant leurs bombardements aériens, terrestres et maritimes sur Ghaza.
Il est en première ligne de l’information sur le drame de Ghaza, c’est Wael El Dahdouh, journaliste à Al Jazeera, chaîne révélée par sa couverture de la guerre du Golfe. Trois jours après la mort, sous les bombes, de son épouse et de ses deux enfants, il était à l’antenne pour poursuivre son travail, un exemple d’abnégation avec le devoir de rendre compte, minute par minute, de l’opération génocidaire israélienne.
Israël assassine, en direct, le peuple palestinien sous le regard du monde et avec la complicité de la communauté internationale. Les crimes d’Israël sont encouragés et couverts par l’Occident.
La guerre menée par l'entité sioniste contre la population de Ghaza depuis voilà trois semaines, les moyens disproportionnés mobilisés par l'armée d'occupation israélienne pour se venger de l’humiliation subie sur le terrain, le 7 octobre, suite à l'attaque des combattants du mouvement Hamas, cachent mal les véritables desseins poursuivis par cette énième agression sauvage perpétrée par l'armée de Tsahal contre les populations civiles palestiniennes de Ghaza et de Cisjordanie occupée.
Malgré les trêves conclues, le premier semestre de 2023 a été marqué par une violence particulièrement intense en Colombie, avec 52 massacres ayant entraîné la mort de 168 personnes, dont 19 mineurs, selon un rapport de l'ONU présenté le mardi 15 août.
Les documents historiques et les témoins encore vivants révèlent que les assassinats de masse se sont poursuivis pendant plusieurs semaines et se sont propagés à d'autres régions du pays, et font état de la souffrance endurée par les citoyens lors de ces terribles massacres ayant fait de Sétif, Guelma et Kherrata un charnier inimaginable.
«Le croiseur Duguay-Trouin, le contre-torpilleur Le Triomphant sur Cap Aokas et ses environs, en plus de l’aviation qui bombarda une cinquantaine de mechtas et villages.» «A Kherata, Amoucha, Aïn Kébira, El Ouarcia, la folie meurtrière se déchaîne contre la population civile.» «Sept semaines de répression féroce dans le Nord constantinois sous le commandement du général Duval sur instruction du général de Gaulle où du sang, des larmes ont coulé et des morts effroyables jetés vivants dans les gorges de Kherata. Avec Guelma et Sétif, il y a eu environ 45 000 martyrs.»
Il y a 77 ans, alors que la France fêtait la victoire des Alliés contre le nazisme, son armée massacrait, à Sétif, Guelma et Kherrata ainsi que d’autres villes, des milliers d’Algériens sortis manifester pour une Algérie libre et indépendante, un crime contre l’humanité qui reste toujours impuni.
Il y a quelques jours, des photos montrant le massacre d’un loup doré font le tour des réseaux sociaux. S’il est difficile de déterminer la date exacte ainsi que le lieu du drame, les chercheurs assurent tout de même que les faits sont réels et les massacres récurrents.