L’influence de l’écrivaine Ahlam Mostaghenemi y est évidente : phrase courte, formules qui font tilt. Ne s’agit-il pas d’un legs ? Toute cette littérature féminine nous renvoie finalement au travail placé sous le sceau de la résistance. « J’écris, j’écris pour décrire l’horreur, pour ne jamais oublier… », écrira Assia Djebar. Karnaout peut facilement y souscrire.