La grève générale en Argentine, la deuxième en cinq mois sous le gouvernement de Javier Milei, reflète le mécontentement croissant de la population face à son programme d'austérité. Malgré les efforts du gouvernement pour minimiser l'impact de la grève, les secteurs des transports, de l'éducation et des services publics ont été fortement touchés.
Le président argentin, Javier Milei, a connu un premier revers significatif mardi au Parlement, où faute de soutien, ses réformes dérégulatrices ont été renvoyées en commission.
Mercredi 27 décembre, plusieurs milliers de manifestants ont convergé dans les rues de Buenos Aires pour le troisième rassemblement en une semaine, marquant leur opposition au décret de dérégulation économique massif du nouveau président ultralibéral, Javier Milei.
Le président élu argentin, Javier Milei, se rend aux États-Unis ce dimanche pour des rencontres avec des responsables de l'administration Biden ainsi qu'avec des représentants du Fonds monétaire international (FMI), selon un porte-parole de l'AFP. "Nous nous rendons aux États-Unis. Vive la liberté bordel", a tweeté Javier Milei dimanche.