l Une coalition armée dominée par Hayat Tahrir Al Sham (HTS), une organisation islamiste constituée principalement de transfuges de Jabhat al Nosra (branche syrienne d’Al Qaïda), et soutenue par d’autres milices armées dont certaines sont appuyées par la Turquie, a lancé une vaste offensive sur le nord-est de la Syrie le mercredi 27 novembre, jour de l’entrée en vigueur de l’accord de cessez-le-feu entre le Hezbollah et Israël. Depuis, ces factions armées se sont emparées de plusieurs territoires du gouvernorat d’Alep. Avant cette offensive, «le nord-ouest de la Syrie bénéficiait d’un calme précaire en vertu d’un cessez-le-feu instauré en 2020, sous le parrainage d’Ankara et de Moscou», souligne l’AFP.