Bruxelles veut interdire toute affirmation qui ne serait pas soutenue par des bases factuelles et scientifiques, accessibles via QR code ou site internet. Le projet enjoint aux Etats de «veiller à ce que les allégations environnementales concernant des produits et entreprises soient justifiées sur la base d’une méthodologie» fondée «sur des preuves scientifiques reconnues», identifiant aussi les impacts environnementaux négatifs et tenant globalement compte du «cycle de vie» (composants, usage, recyclage...).