Google travaille actuellement sur le développement d'un nouvel outil d'intelligence artificielle (IA) destiné à aider les journalistes à rédiger leurs articles, en collaboration avec plusieurs grands médias tels que le New York Times, le Washington Post et le Wall Street Journal.
L'entreprise californienne estime que la décision du gouvernement canadien de «mettre un prix sur les liens» crée de «l'incertitude pour ses produits» et l'expose à «une dette financière illimitée».
Le patron du géant du numérique estime que «l'intelligence artificielle représente une occasion unique pour le monde d'atteindre ses objectifs en matière de climat».
Un juge de la Cour suprême du Brésil a ordonné vendredi l’ouverture d’une enquête contre Google et Telegram, accusés de «campagne abusive» contre un projet de loi anti-désinformation.
L’autorité espagnole de la concurrence a ouvert une enquête contre Google visant de «possibles pratiques anti-concurrentielles» de la part du géant américain, accusé d’avoir imposé «des conditions commerciales inéquitables» à des médias et des agences de presse, a-t-elle annoncé dans un communiqué.
Google a lancé cette semaine en accès public sa plateforme conversationnelle Bard, concurrente de ChatGPT, dans l’objectif assumé d’améliorer la qualité de ses réponses grâce à l’augmentation des échanges avec des utilisateurs.
En visant un outil phare de Google, leader de la mesure d’audience sur internet, l’Europe tente de tarir le torrent de données qui se déverse constamment vers les Etats-Unis, mais les professionnels de la vie privée hésitent entre débrancher cet instrument ou miser sur une solution politique.