Le ministère public marocain a décidé hier de remettre en liberté, mais d’engager des poursuites contre le défenseur des droits humains Fouad Abdelmoumni pour, notamment, «diffusion d’allégations mensongères» après, selon des médias locaux, une publication sur Facebook où il relayait des accusations «d'espionnage de la France par le Maroc».