Le public du 12e Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB) a suivi, vendredi 20 octobre au soir, au Théâtre régional Abdelmalek Bouguermouh, cette pièce syrienne jusqu’au bout. Avec un thème accrocheur, le spectacle, qui a duré près de deux heures, n’a, à aucun moment, perdu de rythme.
Le Centre de recherche en langue et culture amazighes (CRLCA) de l’université Abderrahmane Mira de Béjaïa a abrité, pendant deux jours les 18 et 19 octobre, un colloque sur la thématique de «Théâtre et résistances», à la faveur du 12e Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB).
Naker lahsan (L’ingrat) est la nouvelle pièce du Mouvement théâtral de Koléa (MTK). Ecrite et mise en scène par Youcef Taouint, la pièce défend ouvertement la cause de l’artiste, un artiste qui peine à se faire écouter par la société.
l La pièce égyptienne Itirafat zaoudjia (Confessions conjugales), présentée lundi 16 octobre au soir, au Théâtre régional Abdelmalek Bouguermouh de Béjaia (TRB), au troisième soir du 12e Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB), explore les relations, jamais simples, au sein d’un couple.
Les compagnies théâtrales de Cuba, pays qui sera, à l’occasion, mis à l’honneur, de Syrie, d’Italie, de Tunisie, d’Egypte, du Congo et du Sénégal s’attacheront ainsi, une semaine durant, à présenter diverses œuvres dans leurs formes et leurs expériences esthétiques mais qui portent toutes la résonance d’un même récit, celui de l’humain, a-t-il été précisé, lors d’une conférence de presse.