L’ONU a annoncé, hier, que son secrétaire général, Antonio Guterres, avait assuré au président palestinien, Mahmoud Abbas, la nécessité de préserver et de respecter le statu quo dans les lieux saints d’Al Qods.
Devant sa supérette de la vieille ville d’El Qods, Alaa Zorba hurle sur un policier israélien, qui lui répond aussi sec. Peu après, l’incident est clos. Mais ces tensions entre Israéliens et Palestiniens, en crescendo, peuvent dégénérer à tout moment.
Des affrontements entre manifestants palestiniens et policiers israéliens sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem, les premiers sur place depuis le début du Ramadhan, ont fait plus d’une centaine de blessés hier sur fond de crainte d’un embrasement dans les Territoires palestiniens occupés.
Des robinets secs dans une zone désertique qui cultivait un écosystème oasien ou chacun trouvait son compte avec une économie d’eau érigée en règle du groupe, la sonnette d’alarme a été lancée par le mouvement associatif local depuis quelques années, avec une prise de conscience remarquable des enjeux de la rareté de l’eau et de l’indispensable mise en place d’un système d’économie.