Il a fallu près de 600 brigades des diverses formations paramilitaires appartenant au ministère libyen de l’Intérieur, pour reprendre le contrôle du poste frontalier de Ras-Jedir sur les frontières libyo-tunisiennes, sans l’effusion de la moindre goutte de sang.
Il y a des concertations entre la Banque centrale libyenne et l’entreprise nationale du pétrole pour priver le gouvernement Dbeiba de ressources complémentaires. Les décideurs financiers libyens veulent contrôler les dépenses et ne pas prendre parti dans le conflit politique.