«La pérennité des différentes filières agricoles dépend de l’organisation des agriculteurs en coopératives». C’est ce qui ressort de la rencontre organisée mercredi à Tizi Ouzou par l’unité de recherche en communication, appuis-conseil en milieu rural (INVA/ UR CACMAR) de l’Institut national de vulgarisation agricole en collaboration avec la direction des services agricoles (DSA) et la chambre locale d’agriculture.
Si l’une des missions de la Coopérative des céréales et légumes secs (CCLS) vise à assurer un approvisionnement régulier des légumes secs à des tarifs relativement modérés au consommateur, il n’en demeure pas moins que l’organisme public fait face à une affluence quotidienne d’une clientèle au revenu moyen.
L’organisation des agriculteurs en coopératives agricole est la meilleure voie pour neutraliser les intermédiaires, qui font revenir les mêmes pratiques sur la spéculation et l’augmentation des prix.