La cheffe du gouvernement italien, Giorgia Meloni, a continué avant-hier à Hiroshima à faire pression sur le Fonds monétaire international (FMI) concernant les négociations avec la Tunisie, «de fait bloquées, faute de pragmatisme dans le traitement du dossier». La responsable italienne s’est demandée, lors de la réunion du G7, «si la rigidité était la meilleure voie à suivre et quelles seraient les alternatives si ce gouvernement tunisien tombe».