Les derniers rebondissements d’un vol de surpresseurs (pompes à eau) dont ont été victimes, la semaine dernière, des habitants de la cité des 70 logements de fonction de l’université 8 Mai 1945 de Guelma, a fait réagir les enseignants. «Il est inconcevable qu’une cité comme la nôtre soit ouverte à toutes les tentations, tentatives et vols qualifiés», ont révélé, hier, à El Watan des habitants de cette cité, visiblement offusqués par la dégradation de la situation sécuritaire qui prévaut dans ce lieu.