Après des années d’atermoiements et de constats critiques, les autorités semblent décidées enfin à se pencher sur le phénomène de la salinité et de la pollution des eaux du Bas Sébaou, l’un des plus grands fleuves du pays.
Juste une autorisation administrative, c’est ce que réclament les exploitants des terres agricoles longeant le bas Sébaou pour pouvoir utiliser les eaux de l’oued dans l’irrigation. Grâce aux dernières précipitations, ce fleuve a repris timidement et momentanément son cours.