La situation de stress hydrique, jamais vécue depuis 1944, risque de compromettre sérieusement la campagne agricole de cette année. Le professeur Arezki Mekliche trace, dans cet entretien, un point de situation et alerte : «Pour cette campagne agricole fortement marquée par un déficit hydrique sans précédent, ayant impacté dangereusement le niveau des barrages, il est difficile d’envisager d’atteindre les objectifs tracés.» Le professeur à l’ENSA suggère, dans son propos, différentes pistes et solutions afin d’éviter de subir le manque de précipitations et estime qu’il «ne faut jamais tenir compte des prévisions climatiques mais suivre la réserve hydrique du sol».
Le Conseil du renouveau économique algérien (CREA) a signé une convention-cadre de partenariat avec l’Ecole nationale supérieure d’agronomie (ENSA), selon un communiqué de l’organisation patronale.