Une peine de 20 ans de prison ferme, assortie d'une amende de 2 millions de dinars et confiscation de tous ses biens et ceux des membres de sa famille, en Algérie et ceux ayant été évoqués dans les commissions rogstoires et situés à l'etranger, a été requise contre l'ancien ministre de l'énergie, Chakib Khellil, dans le cadre du procès GNL3 qui se tient devant le pole financier d'Alger, avec confirmation du mandat d'arrêt international.