L’UNRWA a indiqué hier dans une publication sur le réseau X que «près de 360 000 personnes ont fui Rafah depuis le premier ordre d’évacuation il y a une semaine. Pendant ce temps, dans le nord de Ghaza, les bombardements et autres ordres d’évacuation ont créé davantage de déplacements et de peur pour des milliers de familles». Et d’insister : «Il n’y a nulle part où aller. Il n’y a pas de sécurité sans cessez-le-feu.»