Hier, le coup d’envoi d’une très grande manifestation footballistique concernant le CHAN de notre immense continent africain a été donné en Algérie et qui durera jusqu’au 4 février prochain sur quatre grands stades, pour les uns récemment réceptionnés et les autres totalement rénovés pour cette opportunité sportive. Comme il n’est un secret pour personne qu’une telle compétition footballistique de dimension africaine sera, comme l’exige le règlement de la CAF pour ce genre de grands tournois, dotée ou mieux aidée voire supplée par la technique de la VAR qui concernera tous les matchs à partir du match d’ouverture jusqu’à la finale. Même si la structure toute nouvelle, voire moderne, de nos quatre sites sportifs retenus pour les besoins de cette compétition et donc favorablement adaptés à la mise en exécution de cette technique de pointe de la VAR, la société ayant eu le marché de doter nos stades de ladite technique, et avec très certainement la somme d’expérience localement acquise lors de sa mise en place pourrait faire une étude d’approche à «prioriser» l’utilisation de la VAR pour notre championnat national. Pourquoi ne pas profiter de cette «aubaine» d’avoir eu à organiser cette manifestation sportive de dimension continentale pour essayer de rapprocher le timing précédemment annoncé pour le bien de notre championnat national. Nul besoin d’énumérer le nombre toujours croissant d’erreurs arbitrales influentes commises depuis le début du championnat de football. Nos arbitres, à l’instar des arbitres des pays africains où la technique du VAR est déjà utilisée depuis plusieurs années, ne méritent pas qu’on les stigmatise suites des scandales concernant les erreurs arbitrales commises. La dernière Coupe du monde Qatar 2022 a montré et encore une fois prouvé à quel point l’utilisation de la VAR a évité à toutes les sélections ayant pris part au Mondial les affres des erreurs arbitrales à forte polémique et les grandes influences sur les scores techniques. Nos clubs également sont dans la même enseigne devant le nombre d’erreurs arbitrales. Ils investissent, subissent et gémissent. La volonté des pouvoirs publics, comme dans les autres secteurs, est franche et désormais acquise, il ne reste que celle des chargés d’exécution pour qu’elle soit de mise.