Les éléments de la Gendarmerie nationale ont réussi un grand coup de filet, en mettant la main cette semaine sur un important réseau de trafic de drogue dans la commune de Sidi Naâmane, à une quinzaine de kilomètres au nord-ouest de Tizi Ouzou.
Ce qui était redouté par les souscripteurs a fini de se produire. La cité 1504 AADL de Corso a été livrée sans qu’elle soit dotée d’équipements de base.
La réalisation de fosses septiques et la construction de petites stations d’épuration nécessitent des ressources que les collectivités peinent à mobiliser.
Parmi les 32 zones d’activité et de dépôt de la wilaya de Boumerdès, une trentaine nécessitent des travaux de viabilité.
Les travaux pour le raccordement de la commune d’Aït Chafaâ, à une cinquantaine de kilomètres à l’est de la wilaya de Tizi Ouzou, au réseau du gaz naturel se poursuivent et ont atteint un taux d’avancement de plus de 80%.
Le raccordement effectif des clients à cette nouvelle technologie tarde à se concrétiser, soulevant ainsi interrogations et mécontentement chez les futurs abonnés.
L’échangeur de Oued Ghir, devant relier la pénètrent de Béjaïa, au niveau du point kilométrique PK11 à la RN12, ne sera pas livré en cette fin d’année, comme convenu.
La direction de distribution d’électricité et de gaz de la wilaya de Béjaïa procédera incessamment «aux travaux de raccordement de la ZAC de Taharacht, sise dans la commune d’Akbou, à 70 km au sud de Béjaïa, au réseau du gaz naturel».
Le projet du centre de regroupement et de préparation des équipes sportives, qui sera implanté dans les hauteurs de la commune d’Adekar, à 45 km au sud-ouest de Béjaïa, est enfin lancé en étude.
La consommation de drogues est un des principaux facteurs de risque de survenue d’un accident vasculaire cérébral.
La Faculté des sciences économiques, commerciales et des sciences de gestion (FSECSG) connait ces derniers mois d’intenses activités scientifiques, et ce, à travers les multiples rencontres qui ont lieu au sein de cet établissement.
Dans le sillage de ses activités de formation continue, le Centre hospitalo-universitaire (CHU) Nedir Mohamed de Tizi Ouzou a mis sur pieds, ces dernières semaines, un riche programme d’activités au profit du personnel soignant. Des médecins généralistes de santé publique ont pris part, hier, à une journée de formation sur la trachéotomie. Cette rencontre a eu lieu au niveau de la salle de réunion du bloc pédagogique du CHU.
Les médecins résidents de Béjaïa, en grève depuis le 1er décembre dernier, ont décidé de poursuivre leur mouvement de grève à l’unanimité, à l’issue d’une réunion tenue au 17e jour de la protestation. Ces derniers disent rejeter les conditions socioprofessionnelles dans lesquelles ils évoluent quotidiennement dans les services de la santé.
D’une capacité de 35 millions de mètres cubes, le projet a été lancé en chantier en avril 2018 pour un délai contractuel de réalisation de 40 mois.
La première tranche du projet de réalisation d’un quai au port de Béjaïa dans le cadre du programme d’aménagement et de l’extension de cette infrastructure portuaire a été mis en service cette semaine par le wali Kamel Eddine Kerbouche, dans le délai imparti.
Les bidonvilles disparaissent l’un après l’autre du paysage urbanistique des localités de la wilaya de Boumerdès. Après les chalets de Sidi Daoud, 200 gourbis ont été éradiqués hier à Ouled Haddadj, après le relogement de leurs occupants dans des logements décents.
L’hôpital 240 lits de Boumerdès connaît ses dernières retouches. Ajournée à maintes reprises, la réception de cette importante infrastructure interviendra au plus tard fin janvier, a indiqué le directeur des équipements publics.
Deux personnes sont décédées cet après-midi à 15h55 par asphyxie au monoxyde de carbone, émanant d’un chauffage, au niveau du village Tala N’lbir, commune de Boudjellil, dans la wilaya de Béjaïa, selon un communiqué de la protection civile.
La station de dessalement de l’eau de mer (SDEM) de Cap Djinet, dans la wilaya de Boumerdès, a été raccordée au réseau de distribution de Taksebt. «L’opération a pris cinq jours et a été réalisée par des entreprises et des compétences 100% algériennes.
Pour une praticienne du centre de transfusons sanguine de Béjaïa, l’établissement connaît ces derniers mois des difficultés persistantes. Le déficit se creuse tous les jours, alors que le nombre de malades sollicitant du sang ou l’un de ses composants, à savoir les plaquettes ou le plasma, est en constante augmentation.