L’Algérie compte 10 ports de commerce dans le bassin méditerranéen, dont six (6) dédiés au transport de marchandises et trois (3) au transport d’hydrocarbures et de marchandises.
A cela s’ajoutent 46 ports de pêche et de plaisance, sachant que la flotte navale algérienne se compose de 34 navires, dont 14 destinés au transport d’hydrocarbures avec une moyenne de fret estimée à plus de 665.000 tonnes de marchandises.
Le ministre a, aussi, relevé «une croissance notable du fret maritime, en 2023, avec un volume global de 126 millions de tonnes de marchandises, contre 120 millions de tonnes en 2022», appelant à «redoubler d’efforts et à l’adoption des normes de travail mondiales pour développer ces capacités de manière à contribuer à l’édification de l’économie nationale».
Il s’agit, aussi, a ajouté M. Zahana, de la «nécessité de réviser les itinéraires, les horaires d’accostage et la durée de chargement et de déchargement des navires commerciaux, dans un objectif de réduction des frais des fournisseurs, et partant celui des prix des marchandises», tout en «incitant les producteurs nationaux à l’exportation, dans le but de contribuer à la diversification de l’économie nationale hors hydrocarbures».