Les cancres du football ont quitté leur tanière à l’appel de leurs maîtres inquiets pour leurs intérêts et propre avenir à la veille de la prochaine échéance électorale qu’ils ont la certitude qu’elle échappe à leur maléfique contrôle.
Le rappel des troupes qui ont grandement participé par leur servitude volontaire à provoquer la perte du football algérien à sonné depuis la démission du désormais ex-président de la FAF, Djahid Zefizef. Consigne leur à été donnée de tout faire pour parasiter la prochaine élection du nouveau président de la FAF et des membres du bureau fédéral. Ceux que beaucoup qualifient, depuis longtemps, de béni oui-oui se sont prêtés au jeu sans sourciller.
C’est leur certificat d’existence. Des conclaves se tiennent dans plusieurs villes du pays où des émissaires à la solde de leurs maîtres prêchent la bonne parole en faveur du sabotage de l’élection électorale du mois d’août 2023. Le téléphone a chauffé au cours des derniers jours, des stratégies ont été échaudées.
A l’arrivée rien ne se passera comme l’ont programmé les génies du mal. A la fin, tout le monde rentrera dans l’ordre. Ceux qui tirent les ficelles derrière les rideaux et qui avancent masqués, il ne leur restera que les larmes pour pleurer. Honte à ceux qui appellent des présidents de ligue afin de leur demander de refuser de donner des mandatements et franchement de saboter le processus électoral d’août 2023. Ces tristes individus sont identifiés.
Il faudra les dégager du football avec le Karcher. Le football se souviendra du mal qu’ils lui ont infligé durant de longues années. Vivement la fin du mandat en cours (mars 2025) pour tourner définitivement la page d’histoire cauchemardesque qu’à vécue et endurée le football depuis l’apparition des chancres dans la sphère du ballon rond. Ils se reconnaîtront facilement. C’est eux les géniteurs et promoteurs du football Oued Kniss. La corruption est leur ADN. Ils ont sali le football avec leurs pratiques mafieuses. Ils ont injecté l’argent sale dans le football qu’ils ont dénaturé. Ils ont peur de l’inconnu.
Alors ils ont actionné leurs sbires qui hibernent dans tous les segments du football. 2025 sera l’année de la rupture et du changement radical dans le football algérien. Les pourris, les mafieux, les corrupteurs de tout acabit, petits et grands, les morpions incrustés dans le corps du football ne survivront pas au vent qui s’est levé et bientôt soufflera fort.
Ce sera la fin d’une tragédie et de nombreux pourris. Les vrais amateurs de football n’écraseront pas une seule larme.