Le bureau fédéral survivra-t-il à l’échec qu’a essuyé la Fédération algérienne de football (FAF) à travers la non-élection du président Djahid Zefizef au Comité exécutif (Comex) de la CAF ?
Rien n’est moins sûr à la lumière des changements attendus au niveau de la fédération. Jeudi à Abidjan, le Libyen Abdelhakim Echelmani a conservé son poste au Comex de la Confédération et renvoyé son rival algérien à 2025 où il y aura une autre élection.
D’ici là, beaucoup de choses auront changé, peut-être, par le départ du locataire de Dély Ibrahim et les membres du bureau fédéral. Les deux options les plus mises en avant sont les suivantes. Le président de la FAF présente sa démission et écarte toute immixtion de la FIFA, ou c’est le bureau fédéral qui sera dissous en raison du cumul de mandats par de nombreux membres du BF.
Le mandat en cours a vu le passage de Charaf Eddine Amara et Djahid Zefizef à la tête de la fédération. Il reste un an pour la clôture du mandat en cours. Faut-il attendre le terme du mandat et élire un président qui terminera le mandat, sans plus, ou au contraire aller vers l’option d’un nouvel homme qui bouclera le mandat entamé par Amara et enchaîner ensuite avec un bail de 4 ans. Toutes les options sont ouvertes.